Lettre à Jean-Baptiste Pierret, 4 décembre 1818

  • Cote de la lettre ED-ML-1818-DEC-04-A
  • Auteur Eugène DELACROIX
  • Destinataire Jean-Baptiste PIERRET
  • Date 4 Décembre 1818
  • Lieux de conservation Paris, musée du Louvre, département des Arts graphiques
  • Éditions précédentes Joubin, Correspondance générale, 1936-38
    , t. I, p. 36-37; Chillaz, 1997, Aut. 520, p. 102.
  • Historique Legs Etienne Moreau-Nélaton, 1927
  • Enveloppe Non
  • Nombre de pages écrites 1
  • Présence d’un croquis Non
  • Format in - 8°
  • Dimension en cm 31x21
  • Cachet de cire Non
  • Nature du document Lettre Autographe Signée
  • Cote musée bibliothèque AR18L7
  • Cachet de la poste [1er cachet] Décembre 1818 // 4 ; [2e cachet] F.4. illisible
  • Données matérielles Delacroix utilise une feuille de papier velin épaisse pliée en deux et déchirée vers le bas. La lettre est écrite sur la page 1, l’adresse page 4
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Transcription modernisée

Vendredi [4 décembre 1818]1

J’ai vu Félix avant-hier. Je lui ai parlé du projet d’aller entendre Marigues2. Comme nous avions oublié de prendre nos mesures à cet égard quand nous nous vîmes mardi, nous sommes convenus, Félix et moi, qu’il resterait chez lui samedi soir à nous attendre. J’irai sitôt mon dîner. Nous espérons que tu tâcheras de n’y pas manquer. Le malheur est que ne sachant pas à quelle heure cela aura lieu, nous ne savons jusqu’à quand nous attendre réciproquement. En un mot, nous resterons jusqu’à une heure raisonnable.
Adieu, mon bon ami. Porte-toi bien.

Eugène Delacroix

à Monsieur
Monsieur Pierret fils le jeune
Rue du four St Germain n°50
à Paris


1Voir le tampon postal p.4
2Chanteur inconnu



 

Transcription originale

Page 1

Vendredi ─

J’ai vu felix avant-hier. Je lui ai parlé du
Projet d’aller voir entendre Marigues. Comme nous
avions oublié de prendre nos mesures à cet egard quand
nous nous vîmes mardi, nous sommes convenus felix
et moi, qu’il resterait chez lui samedi soir à nous
attendre. Jirai sitot mon dîner : nous esperons que tu
tâcheras de n’y pas manquer . Le malheur est que
ne sachant pas à quelle heure cela aura lieu, nous
ne savons jusqu’à quand nous attendre reciproquement.
En un mot nous resterons jusqu’à une heure raisonnable
Adieu mon bon ami. Portes toi bien.

Eugène Delacroix

Page 2

à Monsieur
Monsieur Pierret fils le jeune
Rue du four St Germain n°50
à Paris

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