Lettre à Madame Haro, 17 octobre 1845

  • Enveloppe Non
  • Nombre de pages écrites 2
  • Présence d’un croquis Non
  • Dimension en cm 20,7x27,2
  • Cachet de cire Non
  • Nature du document Lettre Autographe Signée
  • Cote musée bibliothèque Ms. 237 pièce 20
  • Données matérielles déchirure dans le coin supérieur droit
  • Œuvre concernée Bibliothèque de la Chambre des pairs
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Transcription modernisée

Madame Haro, marchande de couleurs,

rue des petits Augustins, 26.

 

Madame, je pensais voir arriver ce matin vos ouvriers pour reprendre nos travaux à la Chambre des Députés.

N’ayant pas eu de lettre de vous qui soit contraire, j’ai compté sur eux.

Il serait temps encore de commencer car la journée s’annonce comme devant être belle. On pourrait probablement placer au moins une figure. Si vous le regardez comme impossible, ayez la complaisance de me faire savoir par le retour des commissionnaires ce que vous avez décidé à cet égard.

Agréez, Madame, les assurances de toute ma considération.

Eug Delacroix

Ce Jeudi [17 octobre 1845]

Vous n’ignorez pas que je n’ai qu’un temps très limité pour cette opération.

 

Transcription originale

Page 1

Madame Haro

Mde. de couleurs

rue des Petits Augustins 26.

 

Page 2

Madame, je pensais voir
arriver ce matin vos ouvriers pour reprendre
nos travaux a la chambre des deputés.

N’ayant pas eu ici de lettre de vous
qui soit contraire, j’ai compté sur eux.

Il serait temps encore de commencer
car la journée s’annonce comme devant
etre belle. On pourrait probablement
placer au moins une figure. Si vous le
regardez comme impossible, ayez la complai-
-sance de me faire savoir par le retour des
commissionnaires ce que vous avez
decidé à cet egard.

Agreez Madame les assurances de
toute ma consideration.

Eug Delacroix

Ce Jeudi [17 octobre 1845]

Vous n’ignorez pas que je n’ai qu’un temps très
limité pour cette opération.

 

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